Vivre-ensemble, c’est une valeur cardinale des lieux de vie que nous réalisons dans la métropole toulousaine

Oppidea porte l’ambition urbaine du vivre-ensemble dans l’esprit de la ville accueillante pour tous. Pour y parvenir, Oppidea encourage des typologies de logements variés correspondant aux besoins de toutes les générations et de toutes les catégories sociales. Car il est prouvé que la mixité sociale et générationnelle favorise la vie de quartier.

Varier les types de logements, l’accès à la propriété et la qualité des espaces publics

Lorsque l’on parle d’habitat mixte, le cœur de toute démarche publique d’aménagement – d’ailleurs réglementée comme le PLIUh*- l’expression évoque souvent le binôme public / privé ou plus précisément logement social en miroir du logement libre du marché privé. Oppidea, pour chaque cession de foncier établit un cahier des charges qui impose des clauses visant à encourager la mixité sociale dans les programmes de logements mais aussi leur performance environnementale, leur typologie et le partis pris architectural, quel que soit l’opérateur, bailleur ou promoteur. Dans la plupart des quartiers publics réalisés par Oppidea, en milieu déjà urbanisé et à proximité de transports en commun, la part des logements collectifs est plus importante que celle des logements individuels.

Et l’accession à la propriété, sous conditions de ressources des futurs propriétaires, est également poussée dans toutes ses variantes (Location-Accession, Accession progressive collective, prix maîtrisé notamment) pour favoriser la part des propriétaires occupant. C’est en effet une promesse d’ancrage à long terme donc un gage d’engagement au service de la vie de quartier et de relations sociales plus développées. Lors de la sélection des programmes de logement, Oppidea et la collectivité veillent à l’équilibre entre grands et petits logement, à l’accueil de résidences intergénérationnelles ou de résidences étudiantes. Cela permet d’ouvrir le quartier à tous les profils d’habitants, tous les types de foyers – célibataire, couple, famille nombreuse, etc. – pour construire une juste cohésion sociale, facteur de qualité de vie.

Pour s’ouvrir aux nouveaux modes d’habiter, les nouveaux lieux de vie qu’Oppidea réalise dans la métropole accueillent aussi quelques programmes d’habitat participatif (lien vers article dédié) : conçus par les futurs habitants, ils sont un gage d’ancrage, de lien social, et d’engagement au service du lien social qui sont un atout pour la vitalité du quartier. Impliqués, ces habitants s’investissent souvent dans les comités de quartier. Ils sont pour nous, aménageur, des relais précieux pour apporter des réponses aux attentes des habitants, en matière d’aménagements publics comme des jeux pour les enfants, … Cela s’est vérifié dans l’écoquartier Vidailhan et à la Cartoucherie, avec le programme d’habitat participatif « les 4 vents ».

L’intervention d’Oppidea permet aussi de modifier certains équilibres ou déséquilibres : concernant le projet de rénovation urbaine du quartier toulousain d’Empalot, le logement social était jusque-là prédominant (80 % ) : dans le cadre du projet porté à l’échelle de la métropole et avec le soutien de l’Etat, Oppidea va peu à peu recomposer la trame urbaine de ce quartier central pour l’ouvrir sur la Garonne et les quartiers voisins, améliorer l’espace public et paysager tout en organisant dans un démarche de concertation au long cours l’accueil progressif de programmes de logement libre, réalisés par des opérateurs privés confiants dans l’évolution positive du site : à terme, Empalot  accueillera à part égale des logements sociaux et libres. Empalot sera modèle de mixité au cœur de Toulouse.

L’intervention sur le long terme d’un aménageur public comme Oppidea permet à la métropole de développer le nombre de logements pour répondre à la demande sociale tout en créant des lieux de vie offrant des logements, des équipements publics, des commerces, des espaces naturels accueillants pour tous.

A Borderouge, plusieurs équipements publics apportent un « plus » indéniable pour les habitants, qu’il s’agisse de la Maison des familles de la Mairie de Toulouse, de la salle municipale multi-activités Mûriers-Maourine. Ils sont complétés par d’autres équipements, comme la salle des musiques actuelles le Métronum ou le cinéma d’art et d’essai Utopia, qui attirent par leurs programmations reconnues.
Habitants et salariés installés sur un quartier doivent aussi se déplacer. Accès aux voies routières, présence de transports publics et mobilités douces, voies vertes/piétonnes contribuent au maillage multimodal. Dans l’écoquartier toulousain de la Cartoucherie , plusieurs transports en commun (bus, tramway vers le centre-ville et l’aéroport) et l’accès proche à la rocade connectent le quartier.

Accompagner les services, commerces et loisirs de proximité, pour une mixité d’usages effective

Les quartiers aménagés par Oppidea ont vocation à faciliter le quotidien des habitants. L’ambition du vivre-ensemble s’appuie sur l’animation collective, à laquelle chacun contribue. Dans cette optique, les commerces et services de proximité, regroupés, jouent un rôle de levier incontournable : ils favorisent la rencontre et permettent de créer du lien social entre les gens.

Dans l’écoquartier de La Cartoucherie par exemple, l’offre commerciale et de loisirs sera incarnée par les Halles réhabilitées. Le projet, atypique, est porté par des acteurs privés et mélange services et d’activités divers – restauration, travail, sports, culture, etc. - comme le souhaite la collectivité. Autre exemple à Toulouse Aerospace, un autre écoquartier toulousain qui se développe avec plusieurs équipements culturels devenus depuis des facteurs d’attractivité, à l’image de la Halle de la Machine ou du musée L’envol des pionniers de l’Aéropostale, et sa balade végétalisée.